1. |
Les Deux Fascinateurs
06:20
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LES DEUX FASCINATEURS
Ton bain intérieur, Kévin.
Les DEUX FASCINATEURS.
(L'un, à droite.)
(Le deuxième, à gauche.)
Kévin… Ton bain.
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2. |
Petit pré-tunnel
01:17
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3. |
Entrée de tunnel
04:17
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ENTRÉE DE TUNNEL
Tu quittes l'enfance
Tu t'éveilles d'un rêve
Le monde paraît loin de toi
Tu vis dans un tunnel
Il n'y a rien
Il n'y a rien
Il n'y a rien
Il n'y a rien.
Dans toutes ces couleurs
Il y a quelque chose de fort
Le mouvement, la raideur
La vie avant la mort
Il n'y a rien…
Il n'y a rien
Qui te sépare du reste
Tu déclenches le Big Bang
À chaque geste
À chaque geste.
Sofiane :
« Pour moi la mort, c'est pas simple. C'est dur de mourir. Parce qu'on ne peut pas mourir… en clignant des yeux. »
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4. |
Mal sale
03:17
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MAL SALE
J'inspecte le nombril
J'inspecte l'ongle.
J'inspecte la narine
J'inspecte le coude
J'inspecte la dent.
C'est sale.
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5. |
Crise
02:43
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CRISE
Tu marchais, tu marchais, tu mâchais, je pouvais plus t'arrêter
Tu t'adressais à tout le monde tout en ne sachant plus parler
Les arbres, la lumière, les immeubles, comment les regarder ?
La lumière, les immeubles, dehors tout t'impressionnait
J'aurais voulu t'aider et être assez fort·e pour t'apaiser
Tu disais que ta peau s'envolait et je te comprenais.
Tu disais que les secondes s'arrêtaient et je le revivais
Quand je venais te voir moi aussi les arbres m'impressionnaient
Ça m'a rappelé quand j'avançais sur un trottoir abstrait.
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6. |
Avancer
05:00
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AVANCER
Alors ce furent des arcs
Qui se brisèrent à gauche
À droite, sur son flanc
Des statues sur ses seins
Alors ce furent des ailes
Qu'il sentit, qu'il vit
Sortir de ses poumons, par le dos
Alors ce furent des angles
Qu'il sentit
Se décoller de lui
Se décaler en lui
Et le creuser, l'attaquer, le déployer
Alors ce fut du verre
Bleu rouge rose
Qui se multiplia en lui
L'offrant à la lumière
Alors ce furent des dalles
Dans ses pieds déjà froids
Qui l'allongèrent au sol
Et il marcha en morceaux
Dans les éclats de lui
Il tentait d'avancer
Tentait de continuer
Avait perdu son corps
Adossé.
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7. |
Barbe rose
04:32
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Enfance Sauvage France
Ça commence début 2011, à cause de Manu. D’un côté Tof, Geo-Djo et Vinç’, de l’autre, Marianka et Simon. Le nom… la
sauvagerie, l'appel de l’extérieur. L’air libre.
Un peu après la sortie du premier disque, Tof décide d’arrêter le groupe. Nous rencontrons Lulu, et c’est reparti. À la fin, c'est Perruche à la gratte !
Et maintenant on est mort. À plus tard, autrement. Vive l'anarchie.
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